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Ateliers et transmission

Des ateliers d'écriture pour rire et pour pleurer

exemple de salle d'atelier d'écriture

Rire, pleurer, partager, se libérer, dénoncer, imaginer.

Les raisons d'écrire sont nombreuses et les ateliers sont autant d'occasion d'expression, d'expérimentation, et de questionnement. Par groupe de 4 à 10 personnes, les participant·es s'essaient, le temps de quelques heures, à répondre, individuellement ou à plusieurs, à différentes propositions d'écriture. Ce sont des propositions car ici rien n'est imposé, les consignes sont faites pour ne pas être respectées, la proposition est un point de départ que chacun·e est libre d'interprêter selon sa sensibilité. 

 

Différents cycles ont déjà vu le jour. D'autres restent à inventer. Contactez-moi via la page Bio et contact pour plus d'informations. 

Cycle Des marteaux dans la bouche

Réunissons-nous pour cueillir les mots cachés sous nos peaux. Il ne s'agit pas de savoir écrire ni de faire de la littérature. Nous voulons propulser les mots qui nous habitent avec la force des marteaux qui détruisent et qui construisent. 

Ensemble, écrivons une histoire qui nous ressemble. 

Les propositions d'écriture permettent de questionner le rapport à soi, à l'autre et à la société de manière ludique et en utilisant les ressorts du langage et de la fiction. 

Le cycle se compose de 4 ateliers, ayant pour thèmes:
• Nos corps étoilés
• Ces liens qui nous relient
• Les plein pouvoirs dans ma poche
• Tout cramer

 

Ces thématiques sont abordées dans une perspective féministe et queer, c'est-à-dire avec l'intention d'inclure les points de vue des femmes femmes et des personnes minorisées de part leur rapport au genre ou leur orientation sexuelle. 

affiche de l'atelier des marteaux dans la bouche

"ELLES AFFIRMENT TRIOMPHANT QUE TOUTE PAROLE EST RENVERSEMENT."

Monique Wittig

Cycle Trouble dans le genre
Monotype je suis un femme, illustration d'atelier d'écriture

Les ateliers Trouble dans le genre visent à s’emparer du langage pour dire le rapport aux normes identitaires de manière ludique et en utilisant les biais de la fiction et du langage. Les propositions consistent, par exemple, à faire parler la peinture, à jouer avec des lettres fabriquées manuellement ou à raconter des scènes imaginaires de la vie ordinaire en jouant avec l’identité des personnages.
Ces rencontres peuvent aussi être l’occasion de déposer des témoignages plus personnels. 

« Si je n’étais pas défini.e par mon genre je serais une table de chevet, 
Ou un chandelier, 
Au choix. »

Extrait de texte d'un.e participant.e

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